puis le sel de la vie... la connaissance...

... puisque nous sommes dans la bibliothèque, la connaissance. A la saveur piquante, à la saveur amère. Ce qui a du goût possède des revers, inattendus.

... la connaissance. Aux saveurs succulentes aussi, et douces, et goûts de revenez-y. Elle s’agrège, la connaissance, utile ou inutiles, en sédiments, suspensions ou traces...

Ne se donne pas si facilement, littéralement, ni immédiatement. Il faut que nous relions. Relisions couches après couches. ce que nous savons, savions, croyons connaître.

Ce besoin de se confronter aux réels, aux êtres et à leurs rêves.

Et puis, comme un souvenir, quand vous ne vous y attendiez pas, elle viendra vous chuchoter ce qu’elle sait.

Silence.