Une pluie d’étincelles représentées par des lampes LED qui s’abat sur le sol et ricoche sur deux mètres alentour, le tout soutenu par des tiges de plastiques transparents et du fil de pêche.
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Œuvres
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Pluie
16 décembre 2019, par Chloé Di Nardo -
L’oiseau de fer
16 décembre 2019, par Chloé Di NardoUn nid d’oiseau dont la taille a été multipliée par 10 et qui est constitué uniquement de grands ressorts en métal.
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Stairway to Heaven
16 décembre 2019, par Chloé Di NardoUn escalier en ficelle et en fil de fer s’élève vers le ciel et se désagrège progressivement au bout de la 7e marche.
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Racine
16 décembre 2019, par Chloé Di NardoDes équations irréalisables sont gravées sous les numéros des bâtiments.
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Tondeuse à quoi ?
16 décembre 2019, par Chloé Di NardoUne tondeuse à gazon sans moteur, sans poignée et avec des lames en mousse.
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La chevelure
16 décembre 2019, par Chloé Di NardoUne statue de 5 mètres de haut représente un homme sans visage et sans vêtements. Sa longue chevelure qui descend jusqu’à ses pieds, fait de vrais cheveux toutes couleurs et tailles confondues, assemblées les uns aux autres, vole au grès du vent.
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Programmation
16 décembre 2019, par Chloé Di NardoUne horloge sur un rond-point commence par l’heure 25 et fait le tour du cadran dans cet ordre : 25, 13, 67, 33, 67, 112, 1, manger, 2, 808, tondre la pelouse, 4.
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Comme il vous plaira
16 décembre 2019, par Chloé Di NardoUn seau attaché à une corde, suspendu à 1m du sol au coin d’une rue. Chacun y dépose ce qu’il veut : certains s’en serviront comme poubelle, d’autres comme boîte aux lettres qui ne sera jamais fonctionnelle.
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Anamorphose littéraire
16 décembre 2019, par Chloé Di NardoChaque bâtiment possède une tache de peinture sur l’une de ses façades. Certaines sont discrètes, d’autres plus imposantes, mais toutes forment des lettres qui varient en fonction de l’endroit d’où on les observe. Si on arrive à se placer aux bons endroits, on peut lire des phrases qui courent à travers la ville.
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Ici, c’est chez moi
16 décembre 2019, par Chloé Di NardoUn cordage rouge fait le tour de l’éco-quartier, marquant ses frontières. Cependant, la corde est fixée à l’aide de sardine plantées dans le sol et il est possible de changer ces frontières au bon vouloir des habitants. Chaque premier du mois, le cordage est rembobiné et le cycle recommence.