à propos des Villes passagères
samedi 1er septembre 2018
Les Villes passagères est une déambulation fictive et réelle, entre le visible et l’invisible, le connu et l’inconnu, le spectaculaire et le caché, les marges, les strates, les temps ; proposée par le collectif L’aiR Nu.
Les Villes passagères se composent à l’origine de textes écrits en atelier, en partenariat avec l’Université Gustave Eiffel (anciennement Paris-Est Marne la Vallée) dans le cadre d’un projet de maquette urbaine interactive, d’une part, dans celui de la construction d’un écoquartier à Châtenay-Malabry (partenariat avec le laboratoire de recherche Littérature Savoir et Arts, la mairie de Châtenay et la société Eiffage), d’autre part.
Les Villes passagères se composent également de créations inédites de L’aiR Nu, d’extraits de textes d’un corpus lié à la ville, de sons, de photographies et d’autres projets menés en d’autres lieux, liés à la ville ou au Grand Paris, avec d’autres partenaires à venir.
De ce partenariat sont nées deux résidences d’écriture avec commande de texte (et lectures publiques), écrits par Anne Savelli et Joachim Séné. Le premier texte, À travers champs, est paru à l’automne 2019. Le deuxième est en cours d’écriture, s’intitule Lisière Limites, à découvrir en audio dans le blog passager.
Ainsi, en parallèle peut-on également découvrir des textes écrits au lycée du Parc des Loges d’Évry (résidence d’écriture Ile-de-France d’Anne Savelli) ou par des étudiants du DU « écriture créative et métiers de la rédaction » de l’université de Cergy-Pontoise (ateliers de Joachim Séné). Ainsi, également, les villes du Grand Paris ont-elles vocation à voisiner avec d’autres, plus lointaines : une minute à Marseille, par exemple.
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