pour finir
mardi 9 juin 2020 - Ce qui nous empêche
(80). this is the end
(toujours détesté les doors- va comprendre, va savoir : sans doute que ceux (et celles, soyons juste) qui les aimaient ne me plaisaient pas – pourtant cette musique n’était pas si mal, ou tout au moins, pas si différente de celle que j’appréciais alors les années soixante, campus à la radio, les mémoires d’outre-tombe pour les insomnies – j’ai préféré pink floyd que j’écoutais dans la chambre des filles, tout en haut – sans doute s’en étaient-elles allé et ce serait plutôt années soixante dix douze – peut-être – hier soir la route, libre, soleil couchant – le cœur gros sans doute, ou lourd – les émeutes aux US : le fou peroxydé qui va prendre la même place que cette pourriture de thiers « qu’on les fusille » (la loi et l’ordre et le klan) – ici même, nous n’en sommes pas si loin – je ne suis pas parvenu à mettre la main sur les lettres d’Aldo regroupées dans un petit livre préfacé par un Emmanuel Laurentin si je me souviens bien – je ne le retrouve plus – j’ai retrouvé les autres – j’ai retrouvé ma table, le plateau bicolore – je cesse, je repasse par la case Paris – ce qui frappe quand on y arrive, c’est l’odeur, le bruit, mais personne dans les rues – je salue Guy Bennett et les autres amis de l’Air Nu) (à l’image la victoire de Chatelet, c’est un ange gardien aidé de la vigilance, la justice, la prudence et la force - tout un programme...)
retrouvé le « Mon sang retombera sur vous » il se peut que les choses avancent dans cet ordre, peut-être bien - la préface n’est pas que de l’animateur radio, mais aussi de la traductrice, Elisabeth Faure.