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Corbeil-Essonnes cette ville éveillée et bruyante décrite en 13 heures, par Coline Darivon.

mardi 23 avril 2019, par Anne Savelli

13 heures à Corbeil-Essonnes

5h Le soleil se lève et les oiseaux chantent, le froid est présent et le bruit du train qui passe se fait ressentir.
6h Les bus bondés à cause de la foule de collégiens qui descend juste dans un arrêt.
7h À côté de la gare de Corbeil-Essonnes une brasserie déjà ouverte.
8h Train annulé/supprimé la SNCF en galère avec le RER D comme chaque jour avec les gens qui expriment leur mécontentement.
9h Les travaux qui gênent la circulation des voitures.
10h Les commerces qui commencent à s’ouvrir. Pour que les gens aillent faire leurs courses ou à leur rendez vous.
12h On entend des cris les enfants rentrent chez eux avec leur parents pour aller manger.
15h La ville s’agite car c’est bientôt la fin de la journée, des enfants jouent dehors.
16h Des étudiants qui rentrent chez eux à pied en marchant sur la n7.
17h La N7 et ses bouchons interminables, les bus en retard et les voitures d’auto-école suivi des bruits de klaxon.
20h Les commerces de restauration en marche où l’on peut sentir les différentes odeurs de frites, pizza et grec.
22h Ville qui devient bruyante, des voitures qui coupent la route sans prendre le rond-point.
1h Des gens qui crient dehors à côté du tabac. Que l’on entend à travers les immeubles.
Et ça recommence.

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